Pierres de mémoire - Sites, stèles et monuments de Côte-d'Or
Communes martyres
Comblanchien - rue de l'Eglise
La nuit tragique du 21 août 1944
Considéré comme un foyer de résistants, le village de Comblanchien a subi une nuit tragique le 21 août 1944, une nuit de feu et de sang qui se solde par un bilan terrible : 52 maisons incendiées, 8 habitants abattus, 9 déportés.
http://museedelaresistanceenligne.org/media.php?media=7025
http://comblan.com/village-martyr-comblanchien/
https://maitron.fr/spip.php?article193229
Joseph BLANC https://maitron.fr/spip.php?article193215
Jeanne CHAPUZOT https://maitron.fr/spip.php?article193216
Claude HENRY https://maitron.fr/spip.php?article193217
Louis HENRY https://maitron.fr/spip.php?article193218
Marcel JULIEN https://maitron.fr/spip.php?article193219
Blaise LIEUTARD https://maitron.fr/spip.php?article193220
Adrien SIMONNOT https://maitron.fr/spip.php?article193221
Mathilde VOYE https://maitron.fr/spip.php?article193222
Pouillenay, Grosbois-en-montagne,
Uncey-le-franc et Massingy
Les représailles sanglantes du 27 août 1944
En représailles d’une embuscade qu’ils ont subie, des troupes allemandes rassemblent les habitants du village de Grosbois-en-Montagne le 27 août au matin. 32 hommes sont emmenés comme otages en direction de Vitteaux. Quatre kilomètres plus loin, à Uncey-le-Franc douze nouveaux otages sont ajoutés. A hauteur de Massingy-lès-Vitteaux, les allemands pillent une ferme, l’incendient et passent par les armes le fermier et son commis au bord de la route. Arrivés au carrefour de la route d’Alise, à Pouillenay, les otages sont alignés. Six d’entre eux sont sortis du rang et fusillés.
https://fusilles-40-44.maitron.fr/spip.php?article219389
Pouillenay
Gilbert BOURGEOIS https://fusilles-40-44.maitron.fr/spip.php?article195265
Marcel CHAMPY https://fusilles-40-44.maitron.fr/spip.php?article195266
Germain DEVERS https://fusilles-40-44.maitron.fr/spip.php?article195269
Jean MEUGNIOT https://fusilles-40-44.maitron.fr/spip.php?article195271
Marcel YONG https://fusilles-40-44.maitron.fr/spip.php?article195272
Etienne FROIDUROT https://fusilles-40-44.maitron.fr/spip.php?article195270
Uncey-le-Franc
Marcel CHAMPY et Etienne FROIDUROT
Massingy-lès-Vitteaux
http://museedelaresistanceenligne.org/media.php?media=9611
François MIAS https://fusilles-40-44.maitron.fr/spip.php?article195263
François JACOB https://fusilles-40-44.maitron.fr/spip.php?article195262
Chenôve Mur du souvenir - carrefour avenue Roland Carraz - rue des Gaulois
Le bombardement du 6 juillet 1944
les bombes des troupes alliées provoquent un désastre
Le 6 juillet 1944, un mois après le débarquement, le sud de l'agglomération dijonnaise a vécu l'épisode le plus douloureux de son histoire. Un bombardement des troupes alliées s’est abattu sur les installations ferroviaires dites de Dijon-Perrigny, alors sous l'autorité allemande, et sur les quartiers alentour situés sur les communes de Chenôve, Dijon et Longvic. Le bilan fut catastrophique : 69 morts, 57 blessés, 582 maisons sinistrées dont 184 détruites à 100%.
Film documentaire « 20 minutes d’enfer » avec la participation de l’historien Jean Vigreux. Production ville de Chenôve. Réalisation Jean-Marc Bordet - 63’ - 2004.
Soixante ans après, des témoins directs se sont livrés à la caméra. Ils nous font revivre le drame du bombardement allié qui intervint deux mois avant la libération de la région.