autres films et vidéos
20 minutes d’enfer
2004 - 63’
Production Ville de Chenôve. Réalisation Jean-Marc Bordet
Le 6 juillet 1944, le sud de l'agglomération dijonnaise a vécu l'épisode le plus douloureux de son histoire. Un bombardement des troupes alliées s'est abattu sur les installations ferroviaires dites de Dijon-Perrigny, alors sous l'autorité allemande, et sur les quartiers alentours situés sur les communes de Chenôve, Dijon et Longvic.
Le bilan fut catastrophique : 69 morts, 57 blessés, 582 maisons sinistrées dont 184 détruites à 100%.
Soixante ans après, des témoins directs se souviennent et nous font revivre ce drame qui intervint deux mois avant la libération de la région.
Ce film est la chronique d'un bombardement et de ses dommages collatéraux comme il y en eut tant et comme il en existe tant encore de nos jours...
Les cheminots de Perrigny en lutte
2004 - 8’
Production Ville de Chenôve. Réalisation Jean-Marc Bordet
Fin 1943, les cheminots du dépôt dit « de Perrigny » ont été les acteurs de deux événements majeurs de l'action résistante : la manifestation patriotique du 11 novembre puis la grève de décembre qui lui fait suite. L'historien Jean Vigreux revient en détail sur leur déroulement et leur dénouement dramatique, mais aussi sur leur multiples répercussions : ils constituent une étape cruciale et exemplaire de la Résistance, portée jusque sur les ondes de Radio Londres.
La carte des camps de concentration nazis 2013 - 1’25’’
Production Ville de Chenôve. Réalisation Jean-Marc Bordet
Cette courte vidéo décrit la chronologie de l’implantation des camps de concentration et d’extermination nazis en Europe à partir de 1933. Elle montre également la répartition et la multitude des camps annexes.
Les triangles des déportés
2013 - 2’
Production Ville de Chenôve. Réalisation Jean-Marc Bordet
En 1937, l'administration nazie du camp de concentration de Dachau établit un tableau qui définit les catégories de détenus présents dans le camp et le moyen de les différencier par le port de triangles de tissus colorés. A partir de ce tableau, ce court métrage présente le système de symboles mis en place et qui vise à identifier les détenus en fonction de leur nationalité et de la raison de leur incarcération ("opposants politiques, résistants, asociaux, criminels de droit commun, juifs, homosexuels, tsiganes,...").