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Michel THOMAS

témoignage dans les films «les flammes de la mémoire»

Né le 14 août 1924 à Dijon (21). Décédé le 20 avril 2012 à Dijon (21)

Arrêté le 7/7/1943 à Dijon par le Feldgendarmerie au cours d'une rafle comme réfractaire au travail en Allemagne.

Interné à Dijon du 7/7/1943 au 8/7/1943.

Déporté à cette date à la prison de Nürnberg-Fürth, puis transféré le 3/9/1943 au camp de Dachau (matricule 50660).

Transféré au Kommando de Friedrichshafen en octobre 1943, puis au camp de Dora le 5/10/1944 (matricule 91767), et enfin au Kommando de Nordhausen en mars 1945.

Libéré le 11/4/1945 à Nordhausen.

Rapatrié le 2 1/5/1945.

Paulette RENAULT épouse LECHEVALLIER

témoignage dans le film «les flammes de la mémoire»

Née le 23 septembre 1920 à Caen (14). Décédée le 10 mai 2018 à Arpajon (91)

Elle appartient au Front National pour la Liberté et l'Indépendance de la « France ». Ses actions : distribution de tracts, fabrication de faux papiers, aide aux réfractaires au STO, renseignements sur le littoral et lieux fréquentés par les Allemands, liaison entre responsables régionaux et interrégionaux, cérémonies interdites aux Monuments aux Morts.

Arrêtée le 11/12/1943 à Caen par la Gestapo.

Internée à Caen puis au Fort de Romainville (matricule 4323) du19/2/1944 au 2/3/1944.

Déportée à cette date de Paris à la prison d'Aix-la-Chapelle, puis en transfert à Essen, Brême et Hambourg (43 jours à l'hôpital civil), avant d'arriver au camp de Ravensbrück le 3/5/1944 (matricule 37766).

Transférée au camp de Mauthausen le 7/3/1945 (matricule 2719).

Libérée le 27/4/1945 à Mauthausen par la Croix-Rouge.

Rapatriée le 29/4/1945 par le centre d'Annecy.

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Jean VILLERET

témoignage dans le film «au plus profond de la nuit»

Né le 11 décembre 1922 à Mohon (08)

Convoqué par le STO, Jean Villeret vit alors chez ses parents à Maisons-Alfort (94). Il arrive à obtenir une fausse carte d’identité sous le nom de Jean-Jacques Moreau. Le 31 décembre 1943, il entre dans les FTP mais dès le 31 janvier 1944 il est arrêté par les Brigades spéciales de la Préfecture de police à Créteil (94) porteur de ses faux papiers et d’un pistolet 6/35 chargé. Remis le 3 février aux autorités allemandes et placé au secret à la prison de Fresnes, il subit les interrogatoires de la Gestapo rue des Saussaies. 

Le 7 juillet 1944, il fait partie du convoi de 61 résistants déportés NN au camp de Natzweiler-Struthof.  Il y est inscrit sous le matricule 19410. Le 6 septembre, il est transféré au KL Dachau et dès le 7 septembre au Kommando d'Allach dans les usines BMW. 

Il est libéré par l’armée américaine à Dachau le 29 avril 1945.

Maurice VOUTEY

témoignage dans le film «les flammes de la mémoire»

Né le 2 avril 1925 à Dijon (21).Décédé le 2 mai 2012 à Messigny-et-Vantoux (21)

Entré en résistance à la suite de l’exécution des quatre normaliens par les allemands le 7 mars 1942, il devient responsable du Front uni de la jeunesse patriotique et du front National en Côte d’Or.

Il est arrêté le 22/5/1944 à Dijon par la Gestapo.

Interné à Dijon du 22/5/1944 au 22/6/1944, puis Compiègne du 24/6/1944 au 2/7/1944 (matricule 42574).

Déporté à cette date au camp de Dachau où il est enregistré le 5/7/1944 (matricule 77518).

Transféré le 20/7/1944 dans le Kommando de Neckarelz où il est enregistré le 22/7/1944 (matricule 22040), puis au Kommando de Neckarbischofsheim en septembre 1944, et en janvier 1945 au Kommando de Neckargerach qui est évacué le 29/3/1945 en raison de l'avancée des troupes alliées.

Libéré le 4/4/1945 à Osterburken.

Rapatrié le 27/4/1945 par le centre de Strasbourg.

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